Domino Age : 28 Messages : 6 Date d'inscription : 05/11/2012 Localisation : Dans la vallée.. ohhh ohh Feuille perso' Expérience : | Sujet: Domino Mar 10 Déc - 9:56 | |
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Maxime Martin ”Don't cry boy, not anymore..."
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'' INFORMATIONS GÉNÉRALES. Nom : Martin. Prénom : Maxime. Surnom : ¨Domino¨ Sexe : Mâle/Hétéro. Âge : 18ans. Date de naissance : 22/02/94 Nationalité : Québécois-francophones Race : Humain. Famille : Si seulement... Personnage sur l'avatar : Un oeuvre de Reina Kashin.
PERSONNALITÉ. Ceci à probablement été la partie la plus dure à écrire. S'ouvrir à tout le monde sans mentir ? J'aurais pût essayer et probablement réussir... Dire que je suis une bonne personne, toujours souriante et toujours prête à aider autrui, mais ce n'est pas moi. Mais bon, je me devais de le faire.
Je suis le genre de personne qui se dit ultra intelligente mais échoue tout autour de lui. Loin de la modestie, je suis celui qui crache facilement sur le premier venus, sans réellement les connaître. Je me dit être l'un des meilleurs dictateurs que la Terre pourrait connaître, mais je suis aussi celui qui a de la misère à garder de l'ordre dans sa chambre. Je suis celui qui dit tenir à ses principes, mais qui n'a même pas été capable de garder un minimum d'honneur.
Selon plusieurs je suis celui qui se fou de tout. Ils ont en parti raison ! Je me fou des pauvres, je me fou des riches, je me fou de la politique, je me fou de l'économie, je me fou du réchauffement planétaire, je me fou de la vie d'un autre être humain tout comme je me fou de la vie d'un chat rôdant dans la rue. J'aurais put continuer cette longue liste, mais comme je vous l'ai dit un peu plus haut, j'ai de la misère à tenir mes principes... Qui sait, la semaine prochaine, je serais peut-être dans les rue à crier non à la pollution ? Pour l'instant, je ne suis qu'un incompris qui à de la misère à se comprendre lui même...
¨Aime qui t'aime, tue qui t'hue¨ serait probablement ma devise si nous n'avions pas notre système de justice. Il a beau être remplis de faille, je ne suis pas assez stupide pour attaquer un autre être humain sur un coup de tête ! La prison me fait peur et j'essai de l'éviter.
Sinon, j'ai aussi des bons côtes ! Je suis un passionnée de musique, celle qui ne sort généralement pas de la radio. Du metal moderne aux époques baroques, je me dit addictif à tout ce qui peut-être appeler : une chanson. Je change de groupe à chaque mois, sans pour autant oublier celui qui m'a fait vivre : Coheed And Cambria. Il ne sera pas rare de me voir fredonner un air ou encore regarder les étoiles, me laissant flotter sur une ballade.
Je me dit artiste et non sportif. J'ai préféré faire de l'improvisation plutôt que de faire du hockey ou du foot. Je maîtrise la guitare et joue de tout ce qui fait des notes, voir du bruit. J'essai souvent de dessiner, mais j'ai peine à finir mes dessins sachant qu'il y en a des meilleurs que moi. Je suis celui qui efface 50fois, pour finir avec un travail bâclé. Lâche comme je suis, je laisse mes talents de beau parleur me convaincre que ce que j'ai fait n'est pas si pire avant de passer à autre chose.
Il m'arrive d'être honnête, si je tiens réellement à quelqu'un ou encore si il m'a prouver qu'il était digne de confiance. La confiance ! Dans mon cas, elle est facile à gagner, mais tout aussi facile à perdre. Une petite acte ne me convenant pas suffit pour que je vous coupe de ma vie. Il m'est arriver par le passer de couper les relations avec mon ancien meilleur ami juste à cause d'une petite chose...
Je ne serais probablement pas capable de vous faire un résumer de ma personne, même si j'aimerais bien. Disons tout simplement que même après des années passer avec moi même, j'ai de la misère à me comprendre. On va dire simplement que je ne suis pas fou, mais qu'il n'y a que les fous qui ne change jamais d'avis.
À corriger.
DESCRIPTION PHYSIQUE
La partie préférée des demoiselles ! ¨Je suis trop grosse, je suis moche, j'ai tels tels tels défauts!¨ Ahahah, disons dans mon cas que je suis simple. Je me rase de temps en temps, laissant mon visage sans poils. J'ai jadis eu une passe ou est-ce que je laissais mon poils de menton me transformer en homme chèvre, mais c'est désormais terminer. Les femmes aiment les hommes barbus, je prend donc ça comme une protection.
J'ai les cheveux noirs, même si quelques mèche se sont crée ¨naturellement¨. Ceux-ci peuvent m'arrivé jusqu'aux épaules, mais flotte généralement dans le vent. (Attention, je ne dis pas que j'ai une afro hein !)
J'ai un oeil bleu et l'autre brun. Avec le temps, j'ai appris à cacher le bleu afin que de laisser paraître que celui qui reflète la terre. Les femmes aiment généralement les hommes aux yeux bleus, je prend donc cela comme une autre couche de protection.
Je porte des grands manteaux, souvent en cuire, mais parfois qu'en tissu. J'évite de porter tout ce qui est fragile, même si il m'arrive à l'occasion de porter des habits un peu plus chic.
Des pantelons dites cargo noir jusqu'aux pantalons sarouel, disons que j'aime ce qui peut transporter plus qu'un simple cellulaire accompagner d'un porte feuille.
J'aime bien me sentir en sécurité sous ce qui couvre ma peau... je porte donc souvent des couches de vêtement qui vont venir crée une barrière contre la pluie, le vent ou encore les regards.
À vérifier ?
HISTOIRE. Comme je m'endors toujours avant d'avoir terminer, je me laisse une petite note : Good night. Sleep tight, don't let the bed bugs bite.
P.s. : Oui, après tout ces années, j'ai enfin terminé!J'étais dans mon lit lorsque l'invasion arriva. J'écoutais un bon vieux classique de Kubrik lorsque mon cellulaire se mit à sonner. C'étais mon père qui m'ordonnait d'aller dans le grenier prendre les armes et de l'attendre dans la cours avec mon automobile. Je raccrocha sans me poser de question et obéis à ses ordres. Je me retrouva alors dans ma petite Echo bleu accompagner de deux caisse comportant des armes de poing ainsi que des petites boites de balle. Je brancha mon Ipod sur le transmetteur Fm et mit un classique de Guns N'Roses. Je siffla sur la chanson qui faisait vibrer mon automobile, le son décidément trop fort, et je regardais les maisons de ma rue se vider. Les uns après les autres, mes voisins semblait paniquer. Je remarqua certaines femmes qui criait des ordres à leur marie. ¨As-tu apporter l'album photo? Et de la nourriture? T'es sur qu'on a assez de nourriture?¨ Je pouffa de rire, seul dans ma bagnole, ne comprenant décidément rien à ce qui se passait. Est-ce que le jour J arriva enfin? Est-ce qu'il va y avoir des zombies? Est-ce une attaque de terroriste? Je commença à pianoter mon volant, m'imaginant à travers différent scénario post apocalyptique. Décidément, j'aurais dût ouvrir ma télévision aujourd'hui... ! Mon père arriva quelques minutes après mon appel. À suivre !
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LE JOUEUR ~ Prénom : Maxime, Max pour les intimes. Âge : 18ans (Née en 96) Comment avez-vous trouvé le forum ? : Plop qu'on dit ? Quelque chose à améliorer ? : Ma paresse... Autre chose ? : Toi qui se reconnait : je t'aime.
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Autre article écrit par le même auteur (moi) (Sans correction dhu); - Spoiler:
Saint-Jean.
J'étais dans mon lit avec un portable sur mes genoux. Une larme tomba sous les accords d'une pièce de Thomas Newman. J'étais là, devant cette écran blanche à fixer la petite barre noir qui n'attendait que mon départ. Elle était prêtre à tout écrire les lettres que je lui demanderai de créé, dans une coopération simultanées de ses amis les touches du clavier. Le réel problème étant probablement que moi, Maxime Martin, n'étais pas prêt à commencer cette histoire... mais pourtant ; je me le devais. C'est avec maladresse que mes doigts encore tremblotant vinrent s'écraser contre les touches. J'aurais bien commencer avec un il était une fois, mais je crois que cette introduction était la meilleure que je puisse faire.
Tout commença lorsque je l’aperçut. Elle n'attirait pas particulièrement les yeux de tous, mais sa présence était bien suffisante afin d'attirer mon attention. Je la dévisagea tout en me mordant la lèvre inférieur. De ses yeux bruns bien ordinaire qui me regarda qu'un fraction de seconde. Juste assez pour qu'elle puisse me lancer un sourire. À cette époque, j'étais encore loin d'avoir compris tout ce qu'elle était pour moi. Mais pourtant, je me souviens encore. Je me souviens de la voir sur une roche ou au beau milieux de la forêt. Appuyez le dos contre un arbre ou encore en train de marcher dans un sentier quelconque. Je me souviens de sa perruque orangée qui ressortait de ses habits noirs et blancs. Au beau milieux d'un grandeur nature, est-ce là que tout à commencer ?
Inutile de vous comptez tout les autres fois que je l'ai vue. À cet époque, j'étais en relation avec une jeune demoiselle fringante. L'idée de penser à une autre fille me sortait de mes gonds et m'imaginer avec autrui m'aurait probablement mit entre un Hara et un Kiri. Pourtant, même si j'étais dans mon amour d'aveugle, je ne pouvais m'empêcher d'essayer de créé la conversation avec celle qui avais jadis fait cogner mon coeur. Mes méthodes n'était vraiment pas les meilleurs et je ne fit qu'offusquer celle que j'essayais de charmer.
C'est deux ans plus tard que tout recommença. À une époque ou est-ce que les premières amourettes étaient terminer et que je me retrouva seul. Aucune personne pour qui vouloir mourir, aucune personne à qui partager mon amour, seul et surtout ; pris avec moi même. Quand ? À la St-Jean plus précisément. Date ou à lieux la débauche sur presque tout les kilomètres. Un de mes copains avait organiser un feu dans la forêt non loin de chez lui. C'est là que je l’aperçut. Assise sur un tronc d’arbre regardant le feu crépiter. J'avais été mit au courant qu'elle allait être présente, mais pourtant, mon corps n'était pas préparer à revoir celle qui avait jadis porter la perruque orangée. Je ne pourrais vous dire si il y avait plus de scintillement dans le feu ou bien dans les yeux de la charmante femme isoler. Ce qui était sur, c'est qu'elle était seule. Seule, les cheveux aussi remarquable que la teinte des flammes. Seule, mais pourtant toujours aussi souriante. Aucune dents visible, simplement un petit sourire sur le coins des lèvres. Seule... pour l'instant.
Je me réveilla à ses coter. Premier coup de poing au ventre. Le manque d'alcool (quoi qu'encore bien présent dans mon sang) vint me rappeler que celle qui dormait toujours à ma droite était en couple. Bien-sûr que je m'en souvenait la soirée d'avant, mais chaud; cela n'était guère un problème. Deuxième coup de poing. L'envie de lui sauter dessus et de l'embrasser. Rien qui n'avais rapport au sex. Juste une énorme envie de l'avoir contre moi. Je me leva et alla m'asseoir contre un mur sans la quitter du regard. Ce que j'aurais pût appeler le troisième coup devint alors un premier coup de couteau. La première blessure que mon corps devra supporter avec le temps. Elle. J'aurais bien aimer vous raconter qu'elle sentait la rose, qu'elle avait les cheveux parfaitement placer et qu'elle portait une tenue spéciale afin de pouvoir dormir tout en gardant l'aspect nécessaire pour continuer d'attirer l'attention, mais non. Elle était à quelques mètres de moi, les petits yeux fermer se battant encore contre la lumière. Des dents encore légèrement tâcher du BLT qu'elle avait dévoré quelques heures auparavant ainsi que ses cheveux de flamme encore éméchés. Elle, sa présence, ainsi que tout les souvenirs qu'elle avait graver dans ma petite tête en cette soirée, ma foi, parfaite.
Les jours passèrent et ma chimie de fit que grossir. J'appris à la connaître, mais surtout à m'accrocher à elle. Le temps ou est-ce qu'on parlait ensemble me semblait durée que quelques secondes et les moments sans elles une éternité. Je n'avais pas eu la chance de la rencontrer seul à seul et j'essayais presque d'éviter cette situation. J'aurais été prêt à marcher des heures et des heures pour simplement pouvoir avoir un sourire, mais... lui, il était toujours là. Celui à qui je n'avais pas penser, mais surtout, celui à qui je ne voulais pas penser. Elle avait été très claire... elle l'aimait. Pourtant, nos conversations était souvent remplis de confusions et il y avait souvent des moments ou est-ce que je me disais que ; ¨Peut-être, que c'est moi l'élu ?¨. Malheureusement, cela n'aura durée qu'environs deux semaines. Quatorze jours d'extase, dont certaines journées plus longues que les autres. Durant ces quelques jours, j'ai put la voir qu'une seule fois. Un deuxième coup de couteau qui restera encore longtemps graver à travers mon corps.
J'étais connecter sur Facebook lorsqu'il a fait les premiers pas vers moi. Avant même qu'il aille poser sa question, je savais ce qu'il allait me proposer. Une proposition à sens unique qui comportait qu'une seule réponse. Il s'y prit maladroitement, probablement encore incertains d'éprouver de la rage ou de la tristesse. Malgré tout ce qu'il a put endurer, il s'ouvra à moi, m'expliquant clairement ce qu'il voulait ainsi que ce qu'il ressentait. Pour faire bref, il me demanda d'arrêter de lui parler. Un troisième coup de couteau.
Comment pourrais-je vouloir arrêter de parler à la chose que je pense à tout les jours ?! Comment pourrais-je fermer les yeux sur les anciennes conversations qui me tirait un sourire sur mes lèvres ? Il était impossible pour moi d'oublier et de fermer les yeux sur tout ce qu'elle m'avait apporter. Musique, jeux, films et plusieurs autres petit points... non... NON ! Je ne pouvais pas me permettre de la perdre aussi facilement ! M...mais si c'était lui le bon gars ? Si il était bel et bien en amour ? Si il pourrait être l'homme de sa vie et celui qui réussira à n'apporter que tu bonheur dans sa vie ?!
Je lui répondit que j'étais d'accord, que j'allais prendre mes distances et éviter tout contacte avec elle... aoutch.
21:13.
Je suis coucher devant mon ordinateur avec du Coheed and Cambria à l'oreille. Étrangement, je ne suis pas zen, je n'ai pas envie de dormir et encore moins le goût de sourire. Une grosse boule communément appelé rage dort dans mon ventre depuis deux jours. Elle s'est réveillée dans un de ces moments de solitude aujourd'hui. Une rage que je n'aurais probablement jamais eu dans un autre contexte. Un événement si banal que n'importe qui d'autre que moi, Maxime, l'aurait bien pris. Le problème étant probablement qu'en ce 20 Septembre, il n'y a pas juste un personnage qui est mort, mais une partie de ma vie... la partie la plus importante à mes yeux actuellement. Cyrus, l'objets qui m'a permis de me rapproché de la dit Naomi, ma petite perle des étoiles. Une petite malédiction bien placée qui à fait en sorte que je reprenne flamme à faire du Gn. Une petite malédiction qui m'a permis de mieux approcher une femme qui dort souvent à mes côtés, une femme qui hante désormais mes pensés.
Je pourrais me dire que ce Grandeur Nature n'y ai pour rien, que j'avais réussis à lancer un hameçons lors du 24 Juin... mais non. Le 28 Juin 2014 est la date ou est-ce que j'ai pût tout lui dire ce que j'avais sur le coeur, tout en le cachant à travers un personnage. C'est grâce à se personnage que j'ai réussis à lui prendre la mains pour la première fois, à marcher à ses côtés, mais surtout, pouvoir regarder son visage d'ange plus proche qu'un simple étranger. C'est grâce à se personnage que j'ai put faire mon coq. De me promener tête haute ainsi que le ventre gonfler afin d'allumer la poulette qu'elle est. Cyrus... l'homme le plus riche des Basses-Terres. Combien de pièces ? Nahh, la richesse n'était pas là... elle était généralement proche de lui, brandissant une arc contre les créatures qui rôdait.
21:13 ... l'heure précise ou est-ce que j'ai terminée cette lettre, ou est-ce que je peux enfin faire mon deuil. Tu resteras longtemps dans ma mémoire... merci pour tout ce que tu m'as apporter Cyrus.
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Gone Beyond - Kevin Mcleod
Il y a différents types de personne... Il y a les Athazagoraphobiens qui ont peur d'être oubliés ou ignorés, les Achluophobiens qui ont peur de l'obscurité et du noir ou encore les Mysophobiens qui ont peur de la saleté, de la contamination par les microbes. Puis, il y a moi, qu'on pourrait facilement coller un : ¨Christianphobiens¨ dans le front. C'est quoi la Christianphobie ? C'est lorsqu'il y a toujours une boule dans ton estomac qui te rappel qu'il a jadis été celui qu'elle aimait. Qu'il a déjà été celui qui la réconfortait lorsqu'elle allait mal, celui qui lui faisait l'amour, celui qui pouvait dormir en cuillère avec elle, t'sé, celui qui occupait ses pensées, et ça, peut-importe ce qui se passait chez elle? C'est une peur du Christian Auger, un simple être blond si banal qu'il est presque ironique de se dire qu'il a déjà été tout pour elle. Bien sur, et malheureusement, il n'a pas que des défauts. Il a probablement biens des qualités, mais ça, j'évite d'y pensé. En fait, j'essai d'éviter tout simplement de penser à ma Christianphobie. J'essai d'éviter de me dire qu'il a déjà fait battre son coeur et qu'il pourrait peut-être le refaire battre à nouveau. J'essai d'éviter de me dire que tout s'est arrêter si vite, qu'il y aurait put avoir des erreurs, erreurs qui pourrait peut-être mené à une réconciliation, juste afin de savoir si ces deux êtres seraient plus heureux après avoir réparés leur erreurs. C'est lorsque je suis seul que cette phobie reprend le dessus. Lorsque je sais que je suis faible et que lui peut être fort. Je lui crache souvent au visage, mais dans le fond, je ne suis probablement que jaloux. Jaloux de la place qu'il a jadis eu au coeur de celle que je porte désormais dans le miens. Jaloux de savoir qu'il lui a échanger des baisers et jaloux de savoir qu'il l'a déjà fait sourire. Des vieilles paroles, qui ont jadis passé à travers les branches, disent que si deux être restent ami après une séparation, soit l'un aime encore l'autre ou bien... je ne sais pas. Je ne veux pas le savoir en fait, car, peut-importe, tout mon attention n'est porter que sur cette partie...
Je suis seul dans mon lit, il fait noir et j'ai peur. Je n'ai pas peur des monstres. Non. J'ai seulement ma Christianphobie.
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